jeudi 1 septembre 2016

Douce torture.

Elle attendait les yeux bandés, attachée par les poignets et chevilles, acteurs involontaires d'une partie de "quatre coins". Ainsi écartelée, elle offrait presque malgré elle son intimité.
Le programme fût ensuite assez simple. 
Jouer avec ses seins, lécher et mordre ses tétons, les frôler ou les caresser. Fleurter parfois avec son entrejambe, à peine effleurer et encore moins toucher ou pénétrer.
Faire monter son désir et son envie jusqu’à ce qu’elle en hurle et en pleure. La voir se tordre de frustration, l’amener vite et fort aux supplications.

Puis partir. La laisser là, entravée dans son manque, sans autres mots ni explications. Lui montrer une phase sombre de ma domination.